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Sciences et curiosités à la cour de Versailles

L'une des publications autour de l'exposition

Alors qu’on a parlé de Murakami sur tous les médias pendant des semaines après l’inauguration, « Sciences et curiosités à la cour de Versailles » mériterait une meilleure exposition médiatique. C’est parce que je suis un lecteur régulier des Cahiers de Sciences & vie, revue de vulgarisation d’histoire des sciences, que j’ai appris son existence. Alors que cette expo est visible depuis le 26 octobre, pas un mot à la radio, ni à la télévision. Murakami, c’est la qualité plus la polémique : on en parle. Sciences et curiosités à la cour de Versailles c’est la qualité sans la polémique : silence médiatique!

Pourtant, voila une exposition que j’aimerais bien visiter. Mais Paris n’est pas la France et Versailles n’est pas en Bretagne. Je ne sais pas si l’occasion d’y aller se présentera avant février. En attendant, on peut lire les publications qui s’y rapportent, et visiter le site :

<http://sciences.chateauversailles.fr/>

N’ayant pas visité l’expo, je ne peux donner mon avis. Concernant le site, les deux rubriques qui me plaisent le plus sont :

  • les vidéos, surtout celle du making-of du film introductif (déformation professionnelle) J’attends avec impatience le film sur le montage de l’exposition (a venir). Ce genre d’évènement ne se fait pas tout seul. C’est une aventure technique, mais aussi humaine. Du travail, et des moyens.
  • la rubrique pédagogie, en particulier la possibilité pour les enseignants de créer un blog avec leur classe autour de leur visite. Ça c’est web 2.0!

Plus classique, les profils « rabatteurs » habituels : Youtube, Facebook, Twitter, iTunes, accessibles depuis le site officiel et reliés entre eux. Du moins habituels pour qui se tient au courant. Dernièrement en réunion, un élu a soupiré « Facebook, pffff! » sous-entendu : « Cet espace est bon pour les gamins débiles qui ne savent pas écrire français, rien à voir avec les bibliothèques ». Pourtant c’est une partie intégrante d’une stratégie de positionnement sur Internet classique. Créer des profils sur les plateformes à la mode n’a plus rien de révolutionnaire, mais ne pas le faire est une erreur.

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